Quelques échos de la vie d’Erik le rouge, mort au début des années 1000. Les souvenirs de la Norvège natale, l’exil en Islande, la route vers l’Ouest, la découverte du Groenland. Une rêverie anachronique, mille ans plus tard.
En islandais, en norvégien, en danois, ou en patois imaginaires, des petites sirènes chantent les vénustés arctiques et pleurent les horreurs boréales
Un mix où poind l’antique férule des souverains norvégiens…
Un narrateur, une réserve d’écrivains et de musiciens, il y a comme un frisson de vie dans cet exquis cadavre.