Un narrateur, une réserve d’écrivains, il y a comme un frisson de vie dans cet exquis cadavre.
Un narrateur, une réserve d’écrivains, il y a comme un frisson de vie dans cet exquis cadavre.
En islandais, en norvégien, en danois, ou en patois imaginaires, des petites sirènes chantent les vénustés arctiques et pleurent les horreurs boréales
Un narrateur, une réserve d’écrivains, il y a comme un frisson de vie dans cet exquis cadavre.
Un narrateur, une réserve d’écrivains, il y a comme un frisson de vie dans cet exquis cadavre.
De Cuba à New-York, du cap vert au brésil jusqu’en colombie,
les rythmes de la rumba, du jazz, de la samba, résonnent, et se racontent dans la langue des conquistadors.
Depuis la rive, les terres tremblent.
Un narrateur, une réserve d’écrivains, il y a comme un frisson de vie dans cet exquis cadavre.
Un narrateur, une réserve d’écrivains, il y a comme un frisson de vie dans cet exquis cadavre.